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Le sortilège de Loxullio Broché – 23 mars 2005
- Nombre de pages de l'édition imprimée48 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurSoleil Productions
- Date de publication23 mars 2005
- Dimensions23 x 1 x 32 cm
- ISBN-102845659512
- ISBN-13978-2845659513
Détails sur le produit
- Éditeur : Soleil Productions
- Date de publication : 23 mars 2005
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 48 pages
- ISBN-10 : 2845659512
- ISBN-13 : 978-2845659513
- Poids de l'article : 1 Kilograms
- Dimensions : 23 x 1 x 32 cm
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À propos des auteurs
Après quatorze millions d'albums vendus, faut-il encore le présenter ? Né le 14 août 1963, Christophe Arleston a été journaliste, rédacteur publicitaire puis auteur dramatique. C'est à la fin des années 80 qu'il se tourne vers le scénario de bandes dessinées et crée de nombreuses séries dans des styles très différents Léo Loden, les Maîtres Cartographes, le Chant d'Excalubur, Moréa...
En 1994, il crée Lanfeust de Troy avec Didier Tarquin, série qui mêle aventure-fantasy et humour, et remporte un succès immédiat. Lanfeust se poursuit toujours vingt ans après, avec son troisième cycle, Lanfeust Odyssey.
Dans la foulée suivent Trolls de Troy avec Jean-Louis Mourier puis Les Forêts d'Opale avec Philippe Pellet, les Conquérants de Troy avec Ciro Tota, Élixirs avec Alberto Varanda, Les Naufragés d'Ythaq avec Adrien Floch et Ekhö avec Alessandro Barbucci.
Depuis 1998, Christophe Arleston porte aussi la casquette de rédacteur en chef du mensuel Lanfeust Mag.
En 1015, il publie sur Amazon son premier roman, de fantasy, Le Souper des Maléfices, dans le cadre du label Bad Wolf.
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- Avis laissé en France le 25 août 2016Tolriq est un jeune étudiant plus coureur de jupons qu’assidus aux cours de l’université de magie de la cité d’Amporche. Mais deux événements importants vont chambouler profondément sa vie. D’abord, l’arrivée à l’université de la princesse Murmilla, une véritable peste accompagnée en permanence de sa garde du corps, et ensuite une invasion de monstres sanguinaires qui vont mettre la cité à sac, obligeant nos trois héros à s’enfuir ensemble…
On retrouve dans ce scenario à peu près tous les éléments classiques d’un scénario de Christopher Arleston, l’un des auteurs phare des éditions Soleil : un monde imaginaire d’heroïc fantasy, de la magie, de gros monstres, un héros en devenir avec une grosse faiblesse, etc, etc. Cette histoire est donc une n-ième variation sur la même trame, qui manque franchement d’originalité. De plus, on se prend beaucoup moins d’affection pour ses personnages principaux que ceux de Lanfeust de Troy ou des Naufragés d’Ythaq du même auteur. Elixirs se lit sans déplaisir, certes, mais sans passion non plus. De plus, l’humour qu’on appréciait tant dans Lanfeust fait cruellement défaut ici. Clairement, Arleston a fait mieux.
Alberto Varanda est un excellent dessinateur qui a deux défauts : 1-il lui faut beaucoup de temps pour sortir un album. 2-il a la détestable habitude de ne jamais terminer les séries qu’il a commencées (Reflets d'écume, Bloodline, La Geste des Chevaliers Dragons). Sans surprise, il nous a refait le coup après l’extrêmement prometteur premier tome de Paradis perdu en s’attablant à cette nouvelle série qu’il laissera également inachevée après le tome 3. Si son dessin fait absolument merveille dans les décors (notamment celui du l’hallucinant « palais ubiquiste », sorte de monde à la gravité impossible et aux perspectives escheriennes. Le character design, en revanche, manque d’imagination.
Si l’on est fan de Varanda, on pourra se laisser tenter par cette série, mais ne vous attendez pas à un chef-d’œuvre côté histoire. A noter : ce premier tome a également fait l’objet d’une très belle édition 2B, où les crayonnés de Varanda se révèlent beaucoup plus intéressants, notamment sur les personnages, et massacrés par un encrage occultant.
- Avis laissé en France le 18 décembre 2006C'est encore mieux que Lanfeust !!
On veux la suite on veux la suite on veux la suite (trop décu elle existe pas encore).