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100 BULLETS T10 Broché – 5 juillet 2013
- Nombre de pages de l'édition imprimée140 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurURBAN COMICS
- Date de publication5 juillet 2013
- Dimensions17.1 x 1.5 x 26.5 cm
- ISBN-102365772412
- ISBN-13978-2365772419
Description du produit
Revue de presse
Détails sur le produit
- Éditeur : URBAN COMICS
- Date de publication : 5 juillet 2013
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 140 pages
- ISBN-10 : 2365772412
- ISBN-13 : 978-2365772419
- Poids de l'article : 540 g
- Dimensions : 17.1 x 1.5 x 26.5 cm
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- Avis laissé en France le 25 janvier 2015L’« incapable petite fiotte » selon l’agent Graves est Jack Daw, Minuteman en dormance, boxeur de rue qui ne prend pas de gant pour lui retourner sa valise, le pistolet et les 100 balles non identifiables. Pendant ce temps, Lono, alter ego en masse musculaire de Daw cuisine méchamment Fulvio, responsable de l’attentat contre le clan Medici. Parallèlement, Loop Hugues et Victor Ray envisagent de faire le ménage parmi les membres du Trust. Il y a encore dans la course le jeune Benito Medici, fils de papa, à la recherche de Dizzy ainsi que Branch et Wylie Times.
Le 10e volume de la série marque un peu le pas car si le récit multiplie les pistes, les histoires parallèles et les flashbacks n’aboutissent pas de manière satisfaisante, soulevant plus d’interrogations que de réponses. Lono semble avancer en roue libre. Il tient d’ailleurs le haut du pavé même s’il clapote dans les égouts de la cruauté et de la violence. Brian Azzarello tient toutefois son œuvre d’une main forte et il sait développer et orchestrer des rencontres improbables d’une grande intensité. La palme revient néanmoins au dessinateur Eduardo Risso dont le graphisme détonne et sidère. L’expressivité des visages exacerbée par des cadrages serrés, la précision des décors restitués avec une économie de moyen étonnante, les ambiances crépusculaires émanant des arrière-plans noirs, la beauté des chairs que le trait épouse et que les couleurs magnifient capturent le lecteur qui ne peut pas détacher le regard du livre afin la fin de l’album.
- Avis laissé en France le 8 octobre 2013Ce tome fait suite à Les enfants terribles (épisodes 58 à 63). Il contient les épisodes 64 à 69, écrits par Brian Azzarello, dessinés et encrés par Eduardo Risso, mis en couleurs par Patricia Mulvihill, avec des couvertures de Dave Johnson.
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Épisodes 64 - Jack Daw se fait un peu de fric en organisant et participant à des combats à main nue avec paris clandestins. Quand l'agent Graves vient le chercher, il s'apprête à lui rendre sa valise. Épisodes 65 à 67 - Victor Ray et Loops éclusent des gorgeons dans un bar à striptease et Ray offre une loge privée à Loops. Lono s'est mis au travail sur Fulvio, le responsable de l'agression sur Augustus et Benito Medici (dans l'épisode 39). Ce n'est pas beau à voir.
Là, je n'ai pas compris. Il me semblait qu'Azzarello et Risso avaient atteint une telle intensité, un tel niveau de tension narrative qu'il n'était pas possible de faire plus fort. Quelle naïveté ! En 2 épisodes (64, puis 65), ils pulvérisent leur record. Attention lecture déconseillé aux cardiaques ! Dans ses manœuvres de recrutement, l'agent Graves s'est montré plus ou moins efficace, mais c'est la première fois qu'un de ses "clients" lui rend sa mallette avec les balles et le pistolet. C'est possible ça ? Hors de question de donner la réponse, par contre la confrontation est une leçon de narration, à tous les niveaux, pour savoir qui prendra l'ascendant sur qui.
Et l'épisode 65 ? Le lecteur est au premier rang pour voir Lono appliquer la question à Fulvio. Ça fait très, très mal, et ça tâche. C'est sanglant et sadique, appuyant plus sur le premier degré que sur la dérision (rien ne prête à rire). Les 2 épisodes suivants montrent à nouveau qu'Azzarello avait pensé sa structure narrative dans les moindres détails des années auparavant. Pensez un peu : 100 épisodes pour une parution étalée d'août 1999 à avril 2009, plus de 10 ans ! Je plains sincèrement les lecteurs qui ont lu "100 bullets" mensuellement, ayant attendu 100 épisodes pour en connaître le dénouement et se souvenir des intrigues pendant 10 ans, quel défi !
Les 2 derniers épisodes ne baissent pas en intensité. Il reste encore plusieurs pièces du puzzle à découvrir, et les rapports de pouvoir continuent d'évoluer au fur et à mesure que les machinations de l'agent Graves portent leurs fruits. Le lecteur tire un plaisir très direct de voir certains personnages prendre l'ascendant sur d'autres, retournant ainsi les positions de départ. Mais Azzarello n'enferme pas ces relations dans un mouvement de balancier dominant / dominé ; le nombre de personnages en lice et les relations complexes qui les unissent (sans parler de leur personnalité) rendent impossible toute dichotomie simpliste (de type un coup c'est l'un, un coup c'est l'autre). Le concept de statu quo est absent de ce récit.
Ces épisodes sont à nouveau l'occasion d'apprécier le degré de fusion narrative entre Azzarello et Risso. Pour le face à face entre Graves et Daw, Azzarello peut se reposer à plus de 70% sur Risso pour raconter l'histoire, faire apparaître aux yeux du lecteur le rapport de force, la confrontation des volontés et la détermination. Azzarello a écrit son scénario pour rendre l'histoire la plus visuelle possible, et Risso agence une confrontation psychologique limpide au travers de tous les éléments à sa disposition (langage corporel, expression du visage, positionnement, déplacement). Lors de quelques cases (en particulier la première pleine page), il rend hommage au contraste extrême utilisé par Frank Miller, mais avec sa propre sensibilité. La mise en couleurs de Patricia Mulvihill est en retrait donnant presque l'impression du noir et blanc, et pourtant ajoutant une sensation de chaleur et de colère, une complémentarité impressionnant par sa dextérité discrète.
Si tous les épisodes sont passionnants visuellement, le numéro 65 estomaque. Risso dépeint Lono comme un grand professionnel, effectuant son travail avec sérieux et rigueur, choisissant le bon outil pour la plus grande efficacité, avec un souci remarquable de pédagogie vis-à-vis de son "client"... sauf qu'il s'agit d'une séance de torture rendue difficilement soutenable par son degré de professionnalisme, sans que Risso n'ait besoin de donner dans la description clinique de la tripaille, des plaies et du sang.
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Épisodes 68 & 69 - La première scène se déroule en 1962, alors qu'Augustus Medici apprend à Axel Nagel que Neil Walker est mort. Au temps présent, Nagel se fait coincer dans un ascenseur par Javier Vasco. Lono se fait faire un tatouage sur le ventre. Megan Dietrich recommence à parler affaire avec Augustus Medici. Louis Hughes parie sur un combat de boxe opposant Jack Daw à Lono (Ouh ! ça fait vraiment mal).
Suivant le schéma bien rôdé, le lecteur est invité à suivre 2 fils narratifs distincts : quelques chefs de famille du Trust d'un côté, Lono de l'autre. Bon, côté Lono, il est assuré d'en avoir pour son argent. Ce monstre brutal et plus futé qu'il n'en a l'air dispose d'une telle présence physique, et d'une telle personnalité qu'aucune scène de peut être banale avec lui. Ça ne vient pas tout seul, c'est dû aux dessins qui en font un être massif, avec des rictus presque caricaturaux. Presque parce qu'en fait le scénario a fini par faire rentrer dans le crâne du lecteur que Lono est à prendre au premier degré, dans tout son sadisme et sa volonté imposée par la force, avec le masochisme que cela suppose de sa part. Au bout de 60 épisodes, les apparitions de Lono font froid dans le dos. Azzarello et Risso ont fini par faire de ce cliché (le gros costaud à l'épreuve de tout qui tape plus fort que tout le monde pour régler ses problèmes) un véritable individu dans toute l'horreur qu'un être pareil représente, un véritable psychopathe dépourvu d'empathie, sans compassion. La force de l'incarnation de Lono est telle qu'à nouveau le cliché du combat de boxe de rue entre 2 brutes est balayé, Azzarello et Risso insufflant un sens bien concret à cette scène. Loin d'un rituel déconnecté d'une réalité concrète, les coups échangés font mal, malgré l'incroyable résistance à la douleur des 2 opposants.
Le talent d'Azzarello et Risso est que le lecteur peut en fait jouir de cette scène à la fois au premier degré en observant ces 2 alpha-mâles taper comme des brutes pour faire mal et savoir qui est le plus viril, mais aussi avec un sourire aux lèvres devant cette castagne primaire. Les 2 sentiments contradictoires cohabitent bizarrement dans l'esprit du lecteur, sans se neutraliser, sans nuire à la force de la narration, un exploit peu commun.
À condition d'avoir une bonne mémoire, le lecteur sera aussi hypnotisé, avec une légère sensation de tournis, en découvrant les évolutions machiavéliques des rapports de force au sein du Trust. C'est à la fois la force de ce récit très étoffé, et sa limite. D'un côté, le lecteur jubile au fur et à mesure qu'il fait le rapprochement entre le comportement d'untel, et les déclarations d'un autre, qu'il saisit un effet des machinations de l'agent Graves. De l'autre côté, ce jeu d'assemblage peut avoir un aspect un peu vain, un jeu de mémoire parfois agaçant quand il faut retourner en arrière pour vérifier ce qu'à fait ou dit tel personnage (Javier Vasco, souvenez-vous, apparu pour la première fois dans l'épisode 25). Quoi qu'il en soit, ces scènes sont toujours aussi passionnante du point de visuel, à la fois parce que Risso reste un metteur en scène d'une inventivité hors pair, à la fois parce qu'Azzarello concocte des scènes dans des décors concrets avec des individus ayant des mouvements normaux, sans rester statiques.
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Avec ce tome, Azzarello et Risso semblent vouloir prouver au lecteur qu'il n'a encore rien vu, que tous les tomes précédents n'ont servi qu'à installer l'intrigue et que maintenant les choses sérieuses vont commencer. Le plus fort est que ces 2 parties prouvent qu'il ne s'agit pas de vantardises, mais qu'effectivement l'intensité du récit a encore augmenté d'un cran, aussi bien sur le plan de l'intrigue, que sur le plan de la qualité de la mise en images, ou sur celui de l'incarnation des personnages. Plus intense que dans le tome précédent, moins que dans les suivant ? À vérifier avec Un trône pour deux (épisodes 70 à 75).
- Avis laissé en France le 8 juillet 2013Après des épisodes de hautes voltiges , le duo Azzarello-Risso livre ici son arc le plus faible .
100 Bullets est une série tentaculaire , labyrinthique pour laquelle il est indispensable de lire les volumes dans l'ordre et souvent plusieurs fois pour en saisir les subtilités .
Il s'est passé tellement de choses depuis la dernière parution en février 2013 qu'au moment d'embrayer sur ce 10 ème volume , j'avoue que j'étais complétement perdu dans les intrigues secondaires et sur qui complote contre qui . Il m' a fallu relire le volume 9 pour reprendre le volume 10 ..... C'est assez humiliant ça ...
Ceci dit , cet arc se concentre sur Jack , personnage de plus en plus attachant ( c'était mal barré à la base ....) mystérieusement harcelé par l'agent Graves qui s'acharne à vouloir le pousser au suicide . De l'autre côté , le trio Lono , Loops et Victor poursuivent leur agenda pour attenter à la vie d'une figure majeure de la série .
Comme à son habitude Azzarello parsème ses indices au compte gouttes . Ses personnages sont peu bavards . Ils parlent par énigme , souvent à double sens ou parfois ne disent rien .
D'un point de vue narratif ,le duo produit de belles réussites , notamment une histoire où une voix off s'apparente à trois personnages masculins brûlant de désir pour Dizzy sans que l'on sache duquel il s'agit . Des pistes importantes sur le passé de Graves sont enfin dévoilées et cet album est indixspensable à la continuité de la série .
Mais 100 Bullets est une série exigeante qui ne pardonne pas le décrochage . C'est à la fois sa faiblesse et sa grande force!
Oui...Je suis vexé ...sob....Pas de quoi se tirer une balle non plus !
Après des épisodes de hautes voltiges , le duo Azzarello-Risso livre ici son arc le plus faible .
100 Bullets est une série tentaculaire , labyrinthique pour laquelle il est indispensable de lire les volumes dans l'ordre et souvent plusieurs fois pour en saisir les subtilités .
Il s'est passé tellement de choses depuis la dernière parution en février 2013 qu'au moment d'embrayer sur ce 10 ème volume , j'avoue que j'étais complétement perdu dans les intrigues secondaires et sur qui complote contre qui . Il m' a fallu relire le volume 9 pour reprendre le volume 10 ..... C'est assez humiliant ça ...
Ceci dit , cet arc se concentre sur Jack , personnage de plus en plus attachant ( c'était mal barré à la base ....) mystérieusement harcelé par l'agent Graves qui s'acharne à vouloir le pousser au suicide . De l'autre côté , le trio Lono , Loops et Victor poursuivent leur agenda pour attenter à la vie d'une figure majeure de la série .
Comme à son habitude Azzarello parsème ses indices au compte gouttes . Ses personnages sont peu bavards . Ils parlent par énigme , souvent à double sens ou parfois ne disent rien .
D'un point de vue narratif ,le duo produit de belles réussites , notamment une histoire où une voix off s'apparente à trois personnages masculins brûlant de désir pour Dizzy sans que l'on sache duquel il s'agit . Des pistes importantes sur le passé de Graves sont enfin dévoilées et cet album est indixspensable à la continuité de la série .
Mais 100 Bullets est une série exigeante qui ne pardonne pas le décrochage . C'est à la fois sa faiblesse et sa grande force!
Oui...Je suis vexé ...sob....Pas de quoi se tirer une balle non plus !
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