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Le procès du siècle Broché – 20 janvier 2004
- Nombre de pages de l'édition imprimée96 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPanini Comics
- Date de publication20 janvier 2004
- Dimensions17 x 1 x 26 cm
- ISBN-102845382863
- ISBN-13978-2845382862
Détails sur le produit
- Éditeur : Panini Comics
- Date de publication : 20 janvier 2004
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 96 pages
- ISBN-10 : 2845382863
- ISBN-13 : 978-2845382862
- Poids de l'article : 322 g
- Dimensions : 17 x 1 x 26 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 628 560 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 7 384 en BD Heroïc fantasy
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À propos des auteurs
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Commentaires client
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- Avis laissé en France le 28 mai 2014Absolument parfait, excellent livre du meilleur scénariste de Marvel depuis Stan Lee ! Le procès du tigre blanc défendu par Daredevil qui joue sur le droit à être justicier, à ne pas manquer
- Avis laissé en France le 16 janvier 2013Super. Un style de dessin, de scénario et de mise en page qui fait que la BD devient un art à part entre le dessin et le cinéma.
- Avis laissé en France le 11 novembre 2012Parfait. Livraison dans les temps. Livre en parfait état. E, l’occurrence, il n'est pas très bien (ce qui explique sans doute sa rareté) mais le colis et le produit étaient parfaits.
Merci
- Avis laissé en France le 15 mai 2018Ce 6ème tome de DD nous présente l'arc "le procès du siècle" par Dodson & Guttierez où Matt Murdock devra défende Le Tigre Blanc accusé de meurtre. Mais la révélation de son identité secrète dans les tabloïds, pourrait compliquer l'attache à l'avocat de Hell's Kitchen. Dans le dernier numéro, première partie de "Lowlife" avec Maleev de retour aux dessins, où le Hibou souhaite asseoir sa position sur le milieu criminel depuis le "départ" du Caïd.
Un bon tome, le changement de dessinateurs sur le 1er arc se révèle une bonne idée en attendant le retour d'Alex Maleev.
- Avis laissé en France le 9 février 2013Ce sixième tome de la collection 100% Marvel dédiée à Daredevil regroupe les épisodes #38 à 41 de la série. C'est la suite du run de Brian M. Bendis, qui se lit quasiment sans interruption jusqu'au Tome 13 : Le rapport Murdock.
Les dessins sont réalisés respectivement par Manuel Gutierrez, les époux Terry & Rachel Dodson, et Alex Maleev. L'ensemble a été publié initialement en 2003.
Le "Tigre blanc", un super-héros de seconde zone, se retrouve au mauvais endroit et au mauvais moment. Il est accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis et écroué. Les autres super-héros, ceux qui connaissent la double identité de Matt Murdock, par solidarité avec leur collègue emprisonné à tort, parviennent à persuader l'avocat de s'emparer de l'affaire. Mais il le fait vraiment à contrecœur. En effet, étant donné que son identité secrète a été révélée il y a peu (et qu'il se démène pour faire croire qu'il s'agit d'un canular), il sent venir le truc : Les membres du jury ne vont-ils pas se laisser influencer par les soupçons quant à sa double identité, et ainsi transformer le procès en une vindicte anti-communauté super-héroïque ?
L'arc narratif principal, qui s'étend sur les trois premiers épisodes, se la joue "film de procès", un genre à part entière très prisé par les américains. L'intérêt principal de ce genre de récit réside alors dans la mise en forme du procès, la qualité des dialogues et le suspense quant aux rebondissements de l'affaire. Les joutes verbales entre procureur, juge et avocat remplacent ainsi les scènes d'action, et le "voyeurisme" se substitue à l'excitation des hypothétiques séquences plus ouvertement divertissantes. Bendis ne déroge à cette règle en aucune manière, et ainsi Daredevil brille par son absence tout le long du récit, ce qui se justifie de toute façon dans le sens où il se voit obligé de se faire oublier... Avec le recul, je reste vraiment surpris que cette série, qui se détourne à ce point des codes habituels des séries super-héroïques mainstream (bonshommes en costumes/slip dehors/gros muscles contre super-vilains en costume d'animaux/inventeurs fous/très très méchants/) ait pu obtenir un tel succès auprès des lecteurs de comics ! Rendez-vous compte : Pas d'action, beaucoup de dialogues, un thème sérieux et adulte. Et pourquoi ne pas regarder un film d'art et d'essai aussi ?!!!
Bon, il faut avouer que le personnage de Daredevil a toujours appelé à un traitement un peu plus adulte que les autres super-héros. Et c'est que le scénariste met le tout en scène avec un talent indéniable, sachant saisir la voix des personnages, dans une alchimie parfaite entre traitement mature et naturaliste, et tous les archétypes qui ont fait leur mythologie. La réflexion sur le statut super-héroïque entant que citoyen au dessus des lois est amenée de manière convaincante et subtile. On est loin des crossovers idiots que le scénariste nous livrera par la suite (Secret Invasion ou Siège) !
Le changement de dessinateurs est un peu décevant. Il est fort probable que le remplacement d'Alex Maleev se soit justifié par les délais sévères de parution de chaque numéro. Se faire remplacer le temps d'un arc lui aura donc permis de continuer son travail sans baisser la qualité de ses planches.
Le début du récit est donc mis en image par le dessinateur Manuel Gutierrez. Son style est classique, mais la tonalité réaliste fonctionne à peu-près avec le sujet. Bien évidemment, le manque d'originalité et d'atmosphère de ses planches lui font souffrir de la comparaison avec Maleev. La suite et fin du procès est réalisée par Terry & Rachel Dodson. Ce changement de style est radical et dessert le réalisme du récit, atténuant énormément la dramaturgie des événements. Je dois avouer que je ne suis pas très objectif car je n'apprécie vraiment pas le travail du couple Dodson, bourré de faiblesses, avec son esthétique très proche des graffitis...
De toute manière, le retour d'Alex Maleev sur le dernier épisode met une claque assez impressionnante aux autres dessinateurs. Mais par contre il s'agit du début de l'arc "Le Petit Maître", qui voit le retour du "Hibou" et son ascension à la tête de la pègre new-yorkaise, à suivre dans le tome suivant : Daredevil, tome 7 : Le Petit Maître.
Ce constat sur le changement de dessinateur est très instructif, car il met en lumière le fait incontestable que la réussite de la série tient autant de Bian M. Bendis que d'Alex Maleev...