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Le Psychopompe Cartonné – 1 septembre 2002
- Nombre de pages de l'édition imprimée96 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDelcourt
- Date de publication1 septembre 2002
- Dimensions20.3 x 1.4 x 26.5 cm
- ISBN-102840558475
- ISBN-13978-2840558477
Description du produit
Amazon.fr
Assurément, le parti pris de Gabriel Delmas est clairement affirmé : composer une ode poétique aux affres infernales en campant un ensemble de personnages qui le disputent à la corruption et à la putréfaction, sur fond de décors estampillés dark heroic fantasy. L'ombre du Nosferatu de Druillet plane au-dessus de ce méchant petit monde-là. Plus on tourne les pages, plus on est halluciné par l'ampleur et le déroulé des dessins, par la veine gothique qui hante ces pages. On nage en plein satanisme frénétique, les têtes tombent de coupe-choux plus effilés que la langue du diable. Créatures méphitiques, larves et limbes réticulaires se côtoient dans les pire culs de basses-fosses qui soient. Il est dommage que le noir omniprésent de ce bestiaire des trépassés ne facilite pas la lecture à la lueur des lampes électriques (on conseillera plutôt une bougie) et il est à noter que de nombreuses scènes ne sont pas à mettre sous les yeux des enfants (car Gusoyn, comme ses confrères ès exactions outre-tombe, est habité par ses propres démons…) . Pour le reste, ce Psychopompe est à déguster sans modération, tel un bon verre de sang frais auréolé du crépuscule. --Frédéric Grolleau
Détails sur le produit
- Éditeur : Delcourt
- Date de publication : 1 septembre 2002
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 96 pages
- ISBN-10 : 2840558475
- ISBN-13 : 978-2840558477
- Poids de l'article : 565 g
- Dimensions : 20.3 x 1.4 x 26.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 1 811 627 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 12 091 en BD Science-fiction
- 320 756 en Personnages scientifiques (Livres)
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- Avis laissé en France le 21 avril 2017Formater: Livre cartonnéVoilà un ouvrage raté de chez raté. Premièrement, les planches sont tellement sombre qu'il faut faudra parfois un peu d'imagination pour reconstituer l'ensemble du dessin. Deuxiement la construction scnearistique est proche soin travail d'étudiant, c'est d'un amateur affligeant, le rythme est mauvais, les ellipses ratés, le texte (bien écrit,lui) qui accompagne le lecteur est d'un ennui profond au bout de quelques pages. Il n'y a ni rebond, ni surprises, ni nuances. Attention, un univers puissant et profond, aussi malfaisant soit-il, se doit d'avoir de ne pas être monotone même dans sa cruauté. Et enfin, on ne comprend absolument pas l'histoire. Troisièmement, les couleurs sont elles aussi mauvaises. Ternes et sans constrastes, vous aurez l'impression de lire une bd mal imprimés. Les bulles viennent renforcer cet aspect fade grâce à leurs blancheur impeccable. Avis aux coloristes et accessoirement à l'éditeur, du blanc et du noir, c'est le constraste le plus fort possible. Et dernièrement les dessins. Témoignage direct de la simplicité avec laquelle cet univers pourtant si prometteur fut abordé. Comment voulez vous traduire un monde torturé où règne les pires vices et violence avec un coup de crayon aussi enfantin ! Ce qui est représenté est certes glauque, mais le dessin annul absolument tout malaise ou violence. Si vous parlez de l'enfer dans sa forme la plus brut, vous ne pouvez pas vous permettre d'avoir un trait si simple. Le tout n'est pas d'être "sale" forcément, simplement plus riche que ce.. truc.
Honnêtement une des pires bd que j'ai put lire, au moins dans le top 3