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POWERGIRL - Tome 2 Broché – 11 septembre 2014

4,4 sur 5 étoiles 19 évaluations

Brillante businesswoman d'une part et protectrice de New York City de l'autre, Karen Starr, alias Power Girl, mène à la perfection sa double-vie mouvementée. Après avoir vaincu Ultra-Humanite, la jeune héroïne va à présent devoir affronter la colère de l'ex-petite-amie de ce dernier : Satanna. Bien déterminée à le venger, Satanna emploie tous les moyens à sa disposition pour arriver à ses fins : une arme kryptonnienne, et une armée des plus surprenantes. (Contient : Power Girl: Aliens and Apes - #7-12)
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Description du produit

Quatrième de couverture

Brillante businesswoman d'une part et protectrice de New York City de l'autre, Karen Starr

Biographie de l'auteur

a débuté sa carrière dans l'univers des comics en travaillant sur de petits projets pour Marvel, comme les collections Barbie et Disney. En parallèle, elle illustre pour eux Excalibur et Suburban Jersey Ninja She-Devils. Elle a également travaillé chez Kidadvertisers et Kornhauser, des agences publicitaires à New York. Depuis, Amanda CONNER a également travaillé sur de nombreux ouvrages de DC Comics, incluant SUPERMAN: LOIS LANE (1998), BIRDS OF PREY (2002) ou encore POWER GIRL.

Détails sur le produit

  • Éditeur ‏ : ‎ URBAN COMICS
  • Date de publication ‏ : ‎ 11 septembre 2014
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Nombre de pages de l'édition imprimée  ‏ : ‎ 152 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2365773931
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2365773935
  • Poids de l'article ‏ : ‎ 556 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 17.5 x 1.5 x 26.5 cm
  • Fait partie de la série ‏ : ‎ Power Girl
  • Commentaires client :
    4,4 sur 5 étoiles 19 évaluations

À propos de l'auteur

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Jimmy Palmiotti
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Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 26 février 2018
    Formater: BrochéAchat vérifié
    Peu importe qu'il a été publié à l'origine en anglais, l'œuvre d'art est belle. Un bel exemple de Conner et Palmiotti à leur meilleur!
  • Avis laissé en France le 24 mai 2017
    Formater: Broché
    Cette fois-ci, pas de numéros bonus, le tome 2 se compose de deux récits assez denses, bien articulés, entrecalés de petites histoires du quotidien comme on les aime voir racontées par Conner et Palmiotti.

    La première histoire narre l’arrivée de Vartox de la planète Valeron, extra-terrestre au style disco rappelant celui de l’inoubliable Sean Connery dans le film Zardoz (répétez après moi : « The Gun is good! The Penis is evil! »), dont le but est de rencontrer Power Girl et de s’accoupler (sic) avec elle afin de sauver sa race désormais stérile.

    A la base, je me méfiais un peu du concept du scénario, qui tourne encore autour de la sexualité de Power Girl, mais le ton est heureusement décalé et assez bon enfant, et Vartox est tellement ridiculement cliché que cela balaie toute lecture au premier degré.

    La deuxième histoire marque le retour du grand méchant du premier tome, Ultra-Humanité (rappelez-vous, le grand méchant gorille mégalo), via les actions de sa complice, Satanna. Cette fois-ci, elle est aux commandes ! Épaulée de ses redoutables animhommes (des animaux humanoïdes dotés d’une intelligence humaine, à la fois classes et choupi), elle compte bien venger la disparition de son amant et acolyte.

    C’est aussi l’occasion de voir à l’œuvre une arme inédite (autre que la kryptonite), pour répondre au défi de dézinguer une kryptonnienne traditionnellement inbutable. Le combat s’avère plus ardu que prévu (vous verrez !), et on a même l’occasion de voir Power Girl « voir rouge » et pour une fois déroger à ses bons principes (pour la bonne cause ?).

    Conner et Palmiotti n’oublient pas de mettre en avant l’amitié de Power Girl et Terra/Atlee tout au long du tome, notamment par un twist scénaristique assez sympathique qui permet, d’une part de voir la réelle portée de pouvoirs de Terra (qui est bourrine quand elle veut), et d’autre part d’ouvrir une réflexion philosophique sur le bien et le mal (toujours intéressant dans les histoires de super-héros).

    L’histoire se conclut par une petite visite dans la cité d’origine de Terra, au cœur de la Terre, et nous raconte un peu les origines d’Atlee.

    Deux interludes particulièrement mignons : celui où Power Girl se fait menacer par un jeune maître-chanteur, et la scène où elle réfléchit au nom de son chat (qu’elle ne veut pas se résoudre à continuer à appeler « M. Chat »).

    Les personnages masculins (Vartox et son concurrent extra-terrestre qui apparaît à la fin du tome) sont relativement caricaturaux en dragueurs lourds et macho, mais heureusement l’amitié naissante (et improbable) entre Vartox et Power Girl donne l’occasion de voir se développer avec plus de finesse la psychologie du célèbre extra-terrestre à moustache et mankini.

    Les dessins sont toujours aussi plaisants (je ne me laisserai jamais du style chaleureux de Conner et de la colorisation de Paul Mounts). Les scènes d’action toujours aussi bien décrites.

    Comme pour le tome 1, le style de la couverture dessinée par Adam Hughes est totalement différent de ce qu’on trouve à l’intérieur du bouquin, soyez-en prévenus, mais le look n’en est pas spécialement désagréable.

    Niveaux costumes, j’ai un peu grogné avec le dérapage de la scène du maillot de bain chez Terra, que je trouve racoleuse. D’autre part, Terra me semble avoir gagné en tour de poitrine depuis le tome 1.

    On a également l’occasion de voir Power Girl en tenue de soirée, lors de son rendez-vous galant (durement obtenu) avec Vartox. Cette tenue, comme le signale cet article (déjà cité à l’occasion de mon texte sur Power Girl et le féminisme), est d’ailleurs un clin d’œil à un célèbre poster d’Adam Hughes (tiens tiens, encore lui !) des héroïnes de DC.

    Si vous avez aimé le tome 1, foncez lire le tome 2 sans hésitation ! Je trouve même qu’on y gagne en qualité narrative, car les histoires sont habilement entremêlées, et donnent moins cette impression de « monstre de la semaine » que le tome précédent. Il y a de l’action, de l’humour et de l’amitié, et les dessins sont chouettes.

    Mon seul regret, c’est que les blagues graveleuses sur Power Girl sont toujours de mise – à croire que ça fait désormais partie du canon, même si souvent c’est bon enfant. Voyons les choses autrement : que donneraient les aventures de Power Girl sans toutes ces allusions sexuelles ? On aurait une girl-scout loyale blonde prêchant la bonne parole. Un récit tout à fait convenable pour les plus jeunes, au demeurant, mais peut-être un peu trop monolithique pour des lecteurs adultes en quête d’humour potache.
    2 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 13 septembre 2014
    Formater: Broché
    Ce tome fait suite à Un nouveau départ qu'il est préférable d'avoir lu avant, même si ce n'est pas indispensable. Il comprend les épisodes 7 à 12 de la série mensuelle, initialement parus en 2010.

    Sur une planète lointaine, une race expansionniste vient de remporter la victoire sur leurs ennemis de toujours en stérilisant l'ensemble de la population. Ils n'ont plus qu'à attendre l'extinction de cette race en voie de disparition. Vartox (le chez de cette race) dispose des moyens scientifiques pour remédier à cette stérilisation : il lui suffit de trouver une nouvelle compagne. Ses savants lui ont choisi un panel de compagnes potentielles et il choisit Power Girl. Sur terre, la superhéroïne callipyge et gironde se bat contre le Blue Snowman avec l'aide de Dr. Midnite. Vartox arrive en plein milieu du combat et commence à faire sa cour, sans aucune subtilité. Il a ramené avec lui une grosse bébête (IX Negaspike) extraterrestre capable de dévorer une galaxie, planète par planète qu'il se propose de terrasser en combat singulier pour prouver sa valeur (et il parle de lui à la troisième personne du singulier comme tout mégalomaniaque qui se respecte).

    Une fois venu à bout de ce prétendant encombrant, Power Girl doit encore affronter le photographe indélicat qui l'a mitraillée pendant qu'elle se changeait compromettant ainsi son identité secrète, puis confronter Satanna qui n'a pas supporté que Power Girl mette un terme aux agissements de son chéri Ultra-Humanite (qui n'est pas si neutralisé que ça). Heureusement Power Girl peut compter sur l'aide de Terra (Atlee, pas Tara Markov). Et après tout ça, il lui faudra encore surmonter l'épreuve de trouver un nom adapté pour son chat.

    L'équipe créatrice est la même que pour le premier tome : Justin Gray et Jimmy Palmiotti pour le scénario, et Amanda Conner pour les dessins. Gray et Palmiotti continuent de mêler une histoire de superhéros à l'ancienne avec des touches d'humour basées sur le physique avantageux de Power Girl. Le lecteur est donc plongé dans un récit avec une tonalité plus enfantine qu'adulte (renforcée par les dessins mignons, voire carrément kawaï), avec des blagues à caractère sexuel (Vartox en string, Satanna payant de sa personne pour obtenir ce qu'elle veut de Sivana, Terra en train de changer de vêtements, etc.). Ce décalage entraîne l'histoire sur la voie du second degré très sympathique, et 100% divertissement sans aucune prétention.

    Comme précédemment, Gray et Palmiotti prennent en compte leurs priorités. Tout d'abord raconter une histoire qui se tient : mission remplie, toutes les intrigues secondaires sont résolues à la fin du tome; Ensuite, faire souffler un vent de bonne humeur à l'unisson du caractère de Kara Zor El : mission remplie, les blagues sont drôles, même si elles flirtent parfois avec le mauvais goût. Enfin toucher la corde sensible du lecteur : mission remplie au-delà du raisonnable avec Power Girl visitant une boutique de comics au bras d'un collectionneur (limite démagogique). Et comme ces messieurs sont vraiment très forts, ils réussissent également à faire avancer la situation de Karen Starr.

    C'est avec un grand plaisir que j'ai retrouvé les dessins d'Amanda Conner. Cette dame a choisi de persévérer avec le même style très rond. Elle met en avant les atouts physiques de Power Girl (quelle poitrine !) de manière très décomplexée. En fait elle est dépeinte comme une femme qui a conscience de ses charmes, qui ne cherche pas à les minimiser, mais qui a choisi de les mettre en avant pour troubler les criminels mâles facilement déconcentrés (d'un autre coté, moi aussi je préfère ça aux chauves souris de Batman).

    Le lecteur peut quand même être un peu surpris que Terra qui semble beaucoup plus jeune soit presque aussi généreusement dotée par la nature. Du coup, même la séquence qui met en scène Power Girl dans le plus simple appareil ne ressort pas comme un artifice destiné à émoustiller les jeunes lecteurs, mais plus comme une situation logique vu le personnage. Satanna a aussi droit à quelques scènes qui font ressortir son caractère et son amoralité, ainsi que son sens de la mode (une vraie fashion victime). N'allez pas croire pour autant qu'il n'y en a que pour les femmes. Amanda Conner dessine Vartox de façon à le rendre à la fois irrésistible et touchant, ridicule et imbu de sa propre personnalité, de telle manière qu'il est bien difficile de ne pas l'aimer tout en le détestant cordialement. Même les décors ne résistent pas au savoir faire d'Amanda Conner. L'intérieur du vaisseau de Vartox est inventif et accueillant et j'aurai bien aimé pouvoir visiter la cité de Terra avec les filles. Impossible de terminer sans mentionner les moues toujours aussi irrésistibles des personnages.

    Ce deuxième tome est un complément parfait au premier avec une vraie histoire, et toujours autant de bonne humeur sans chichi. Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin et c'est une nouvelle équipe qui a pris le relais pour les épisodes suivants.
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