Juin 1857. Bernard-Marie Sambre est élevé par sa tante à la Bastide. Judith, elle, grandit dans un orphelinat à Paris. Enfermé, il subit l'éducation stricte de sa tante et le poids du legs familial. Elle fréquente gamins des rues, voyous et gavroches. Après le drame qui a frappé leurs parents, les jumeaux grandissent chacun de leur côté. Mais ils seront rattrapés par le destin : eux aussi seront atteints par la malédiction de leur famille. Après la folie de Bernard pour Julie, il y aura celle de leurs enfants.
Ce septième volume marque le début de son ultime cycle en trois tomes.
On change de génération avec ce tome et on retrouve toujours la même intensité dans ce tome.
La noirceur mais aussi la beauté des personnages est bien là.
Les détails dans les planches sont sympathiques et les couleurs très personnelles à la série continuent.
Entre le T6 (2013) et le T7 (2017)mieux vaut relire la série. Une énigme, une destinée génotypique et romantique agréables soutenues par un magnifique graphisme et des couleurs sépias en harmonie avec l'histoire.