Résonnez trompettes ! Claquez oriflammes ! Tandis que Garulfo et Romuald entrent en lice pour affronter le Chevalier noir, une tragédie se noue entre l'ogre et la princesse. L'ami de jadis s'est changé en monstre assoiffé de sang ! Qui pourrait encore sauver la belle en péril ? Un prince ? Une grenouille ? L'amour, peut-être...
Une fin bien construite, même si les plus critiques diront que les auteurs trempent au final dans la mièvrerie qu'ils se sont plus à moquer durant toute la série. Une fin qui était prévue, depuis le premier tome de ce second cycle, si on en croit tous les "fusils de Tchekhov" qui ont été dispersés le long de tous ces tomes.
Une fois de plus, on prend beaucoup de plaisir en lisant la caricature de ce monde chevaleresque.
Graphiquement je tenais à souligner le travaille remarquable de Maïorana sur la page d'introduction. Mis en page qu'il applique depuis le premier tome.
Une série, qui sans se prendre au sérieux, joue des clichés de contes pour enfants pour nous servir une vision satirique de l'humanité et de ses grandes contradictions.