La vérité n'est pas toujours bonne à dire.
Il est trop tard pour reculer. L’équipe menée par Dorian Singer touche au but. Les origines de la contamination qui a transformé l’Angleterre en une jungle hostile et luxuriante seront bientôt révélées. Mais on ne s’approche pas aussi près d’une gênante vérité sans provoquer de l'agressivité et les autorités gouvernementales semblent de plus en plus hostiles. Tout s’accélère, chaque nouvelle découverte est plus effroyable que la précédente, chaque pas fait tomber un nouveau masque...Soutenu par un tempo en prise de vitesse constante, Denis-Pierre Filippi parvient, dans le dénouement de Terra prohibita, à jongler entre des scènes d'action explosives et de précieux moments d’intimité. La fin d’un récit au cœur d’un monde « steampunk végétal » aussi troublant que fascinant et brillamment mis en images par Patrick Laumond.
Quel bonheur !
Ce scénario, plus complexe qu'il n'y paraît, arrive à nous surprendre, dans un monde steampunk qui n'a pas fini de nous intriguer.
Malgré l'esthétique léchée, certaines scènes sont assez confuses. A mon sens, c'est ce qui empêche la bd de se hisser parmis les meilleures.
Bonne nouvelle : un nouveau cycle est prévu !
On va pouvoir continuer à découvrir cette "zone interdite" au potentiel incroyable.